Via Francigena

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« Visioni in movimento » la Francigena est un espace de créativité cinématographique

La Via Francigena comme espace de développement créatif dans un cadre artistique et cinématographique. Voilà le sens du projet « Visioni in Movimento » que les associations Mattador (Trieste) et Visionaria (Sienne) ont lancé pour l’été 2017 : une résidence artistique et formative pour 2 jeunes cinéastes européens qui auront la possibilité de produire leur propre travail consacré justement à la Via Francigena et plus généralement à l’expérience et au sens des chemins et des grands itinéraires européens.

Un appel a été lancé aux jeunes auteurs européens de 18 à 30 ans qui ont une idée à développer sur le thème des chemins et de la Via Francigena. Durant la période de résidence, des rencontres, des laboratoires et des leçons seront organisés pour former les deux auteurs résidents (ouvert quand même au public) sur comment raconter un territoire et comment produire un film « en chemin ».

Visionaria et Mattador, avec la Commune de San Gimignano et la maison de production Kiné et en collaboration avec Culture Attive, accueilleront donc 2 jeunes auteurs sur le tronçon de la Via Francigena qui unit San Gimignano à Sienne (2 étapes du parcours officiel San Gimignano-Monteriggioni et Monteriggioni-Sienne) avec l’intention de leur faire développer leur propre projet et produire deux courts métrages qui donneront un regard personnel sur le chemin.

Pour participer à la sélection, il suffit d’avoir entre 18 et 30 ans et d’être un citoyen européen. Il faudra envoyer son propre projet à l’email : francigena.visionaria@gmail.com , le texte complet de l’avis de concours est à votre disposition sur les sites des deux associations :  www.visionaria.eu e www.premiomattador.it

Source : Il cittadino online

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“Visioni in Movimento” la Francigena è spazio di creatività cinematografica

La Via Francigena come spazio di sviluppo creativo in ambito artistico e cinematografico.
È questo il senso del progetto “Visioni in Movimento” che le associazioni Mattador (Trieste) e Visionaria (Siena) hanno lanciato per l’estate 2017: una residenza artistica e formativa per due giovani filmmaker europei che avranno la possibilità di produrre il proprio lavoro dedicato appunto alla Via Francigena e più in generale all’esperienza ed al senso dei cammini ed ai grandi itinerari europei.

È stata lanciata la call a cui potranno rispondere giovani autori europei tra i 18 ed i 30 anni che hanno un’idea da sviluppare sul tema del cammino e dell’itinerario della strada francigena. Durante il periodo di residenza poi saranno organizzati incontri, laboratori e lezioni per formare i due autori residenti (aperti comunque al pubblico) su come si racconta un territorio e si produce un film “in cammino”.

Visionaria e Mattador, assieme al Comune di San Gimignano e alla Casa di Produzione Kiné ed in collaborazione con Culture Attive, ospiteranno quindi due giovani autori nel tratto di via Francigena che unisce San Gimignano e Siena (due tappe del percorso ufficiale San Gimignano-Monteriggioni e Monteriggioni-Siena) con l’intento di far loro sviluppare il proprio progetto e produrre due brevi film che diano uno sguardo autoriale e personale sul cammino.

Per partecipare alla selezione basta avere l’età compresa tra i 18 ed i 30 anni ed essere cittadini europei. Sarà sufficiente inviare il proprio progetto alla mail francigena.visionaria@gmail.com, il testo completo del bando è a disposizione di tutti gli interessati nei siti delle due associazioni: www.visionaria.eu e www.premiomattador.it

 

Fonte: Il cittadino online

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La Via Francigena, nouveau plateau pour « Digitalife »

L’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena et Movimento Lento deviennent partenaires du projet et seront les protagonistes de la phase de production du film-documentaire sur les changements avec le monde digital.

Digitalife est un film collectif qui racontera les changements advenus dans ces vingt dernières années avec un regard vers le futur qui continue son propre chemin. Depuis cette semaine, l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena et l’Association Movimento Lento font partie du projet. Un accord qui valorise beaucoup d’aspects du plus important chemin culturel en Italie et parmi les plus parcourus en Europe.

Un Chemin qui part de Canterbury pour arriver jusqu’à Rome à travers 1’800 km, dont environ 1’000 km en Italie. Avec les deux associations, est née la question à poser aux passionnés de Chemin : « Comment internet a changé votre mode de voyager ? ». Tout le monde peut y répondre, en tournant une vidéo et en l’envoyant sur le site du film-documentaire.

« Nous avons choisi de contribuer au projet – raconte Massimo Tedeschi, Président de l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena – parce que cela représente une opportunité concrète pour faire mieux connaitre la Via Francigena, itinéraire culturel du Conseil de l’Europe, dont la visibilité est de plus en plus internationale. Les médias peuvent offrir un véritable instrument de promotion et de diffusion, en plus de l’analyse et l’étude socio-culturelle liée au parcours ». « Pour ceux qui s’occupent de gérer les informations – explique Luca Bruschi, Directeur de l’Association – le projet devient un précieux moyen pour mieux identifier le profil des marcheurs et de ceux qui “vivent“ la Via Francigena. Le projet DigitaLife s’ajoute aux moyens de communication de l’AEVF, comme le portail web, consulté par plus de 100’000 visiteurs chaque mois ». Ce n’est pas la première fois que l’association soutient la production d’un documentaire : ces dernières années, elle a soutenu « I volti della Francigena » de Fabio Dipinto et « Energie invisibili » de Luca Contieri.

L’accord entre les deux associations permettra de diffuser la connaissance du projet et de raconter les différents aspects du choix de se mettre en route. Nous aurons la possibilité d’engager des personnes provenant du monde entier. « Internet et les nouvelles technologies ont révolutionné le voyage lent, à pied et à vélo. Les cartes, les récits, les informations autrefois difficiles d’accès, peuvent aujourd’hui être partagés en temps réel, et le GPS aide à l’orientation des moins experts sur les parcours sans balisage » explique Alberto Conte, Président de l’Association Movimento Lento.

« Ceux qui se mettent en chemin – raconte Marco Giovannelli, Président de la Varese Web – savent bien que derrière l’effort de chaque pas, une grande énergie se met en mouvement. La Via Francigena est un patrimoine de grande valeur pour notre pays. Ecoute, accueil, rencontre sont des éléments primordiaux pour l’expérience du pèlerin et des nombreuses personnes qui s’impliquent afin que le chemin puisse être aussi une expérience de sérénité. C’est un grand honneur pour nous de collaborer avec l’Association et nous sommes certains que le film sera une excellente occasion pour diffuser plus encore ce Chemin ».

Depuis le lancement du projet, les cents premières vidéos sont déjà arrivées. Beaucoup d’analyses différentes en fonction de la place que prend le digital et internet dans sa propre vie. « Le travail continue et nous construirons le film avec vous – explique Francesco G.Raganato, Réalisateur de documentaires pour Sky et Rai – ce sera un travail collectif dans le sens véritable du terme. La volonté de créer une communauté qui donne une lymphe vitale au film jour après jour. C’est un défi dans tous les sens, à partir du fait que nous donnerons l’opportunité à tout le monde de raconter sa propre histoire et de la partager ».

Reconnaissances :

Toutes les vidéos seront publiées dans différents espaces et les participants, avec l’envoi de leur propre travail, recevront une reconnaissance de la part de la production. Tous les 15 jours, une vidéo sera choisie, particulièrement représentative de l’esprit du film et un week-end pour deux personnes dans une localité italienne sera offert à l’auteur. Tous ceux qui seront choisis pour faire partie de DigitaLife seront insérés dans le générique de fin du film et dans la production officielle de l‘œuvre.

Social :

Pour rester à jour ou pour faire partie de la communauté qui dans les prochains mois « construira » le film, DigitaLife sera présent sur Facebook, Instagram, Twitter et You.Tube. Pour n’importe quelles autres questions, vous pouvez écrire à digitalife.film@gmail.com.

 

Le réalisateur Francesco G.Raganato :

Il a été choisi par Varese Web, à travers un concours auquel 230 réalisateurs et vidéomaker ont participé. Il a dirigé différents documentaires pour le programme « La storia siamo noi » de Giovanni Minoli sur Rai2, en réalisant ensuite des émissions pour La7 et History Channel. Parallèlement à la TV, il travaille sur certains film-documentaires, crées exprès pour le cinéma et les vidéos à la demande. « L’isola Analogica », sur certaines péripéties liées à la consommation accidentelle de LSD sur la petite île d’Alicudi dans les îles Eoliennes, gagne le Grand Prix du Mediterraneo/Prix Italia, un festival auquel participent les plus importantes chaînes de télévision européenne. Après quelques années, il sort au cinéma et puis en dvd pour Feltrinelli Real, « Tsunami Tour », le seul documentaire qui raconte la première campagne électorale de M.Grillo. Avec « Looking for Kadija », il met en scène un voyage pittoresque avec une inconnue érythréenne, réussissant à recueillir de nombreux témoignages sur les conditions de vie dans l’ex-colonie italienne. Ce documentaire, produit par Rai Cinema, gagne le premier prix au Festival du Cinéma de Rome en 2013. Parmi ces derniers travaux, il y a la série « Islam Italia », imaginée et conduite par Gad Lerner pour Rai3, actuellement candidate au Prix Italia.

La Via Francigena     

La Via Francigena promeut un patrimoine lié aux identités culturelles européennes en partant de l’itinéraire historique qui s’exprime à travers un faisceau de routes sur lesquelles se forme l’histoire de l’Europe dans les siècles derniers. Pour découvrir ce parcours de 1’800 km à travers l’Angleterre, la France, la Suisse et l’Italie sur les pas des pèlerins médiévaux qui marchaient vers de grandes destinations comme Rome, Saint Jacques de Compostelle ou Jérusalem, le 22 avril 2001 a été créée l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena (AEVF). Habilitée officiellement par le Conseil de l’Europe, l’AEVF dialogue avec les institutions européennes, les régions, les collectivités locales, les associations et les opérateurs du secteur pour promouvoir les valeurs des chemins et des pèlerinages, en partant du développement durable des territoires à travers une approche culturelle, identitaire et touristique.

Pour plus d’informations : www.viefrancigene.org

Movimento Lento

Le Movimento lento s’occupe de la diffusion de la culture du « voyage lent » et utilise les technologies les plus avancées pour redécouvrir des antiques chemins et tracer de nouveaux itinéraires, ainsi que pour organiser des voyages à pied et à vélo à la portée de tous.

Pour plus d’informations :  www.movimentolento.it

La production Varese Web

Varese Web est l’éditeur de Varesenews, le quotidien en ligne de la province de Varese qui nait en 1997. A l’époque, peu de personnes étaient connectées. Le journal durant ces dernières années s’est développé grâce à sa capacité à faire partie de ses propres communautés. Cela a été un élément déterminant pour différents territoires pour augmenter la culture digitale et aujourd’hui, il compte 4 millions de lecteurs mensuels, 188’000 fans Facebook, 20’000 followers sur Instagram et 15’000 sur Twitter. La production du film-documentaire DigitaLife est seulement une des initiatives qui sont au programme pour fêter les 20 ans du journal.

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La Via Francigena nuovo set per “DIGITALIFE”

L’Associazione Europea delle Via Francigene e Movimento Lento diventano partner del progetto e saranno protagonisti della fase di produzione del docufilm sui cambiamenti con il mondo digitale.

DIGITALIFE è il film collettivo che racconterà i cambiamenti avvenuti negli ultimi vent’anni con uno sguardo proiettato al futuro continua il proprio cammino. Da questa settimana entrano nel progetto anche L’Associazione Europea delle Vie Francigene e l’Associazione Movimento Lento. Un accordo che valorizza i tanti aspetti del più importante cammino culturale in Italia e tra i più percorsi in Europa.
Una via che parte da Canterbury per arrivare fino a Roma attraverso 1800 km di cui circa mille nel nostro paese. Insieme alle due associazioni è nata la domanda da porre agli appassionati in cammino: “Come internet ha cambiato il loro modo di viaggiare?”. La risposta potrà darla chiunque, girando un video e inviandolo attraverso il sito del docufilm.

«Abbiamo scelto di contribuire al progetto – racconta Massimo Tedeschi, PRESIDENTE DELL’ASSOCIAZIONE EUROPEA DELLE VIE FRANCIGENE – perché esso rappresenta una concreta opportunità per fra conoscere maggiormente la Via Francigena, itinerario culturale del Consiglio d’Europa, la cui visibilità sta assumendo una dimensione sempre più internazionale. I media possono offrire un concreto strumento di promozione e divulgazione, oltre che di analisi e studio sociologico-culturale legato al percorso». «Per chi si occupa di gestire le informazioni – spiega Luca Bruschi, DIRETTORE DELL’ASSOCIAZIONE – il progetto diventa un contenitore prezioso che potrà meglio identificare il profilo di chi cammina e chi “vive” la Via Francigena. Il progetto DigitaLife si affianca agli strumenti di comunicazione dell’AEVF, come il portale web, al quale si rivolgono oltre 100.000 visitatori ogni mese». Non è la prima volta che l’associazione sostiene la produzione di un documentario: negli ultimi anni ha appoggiato “I volti della via Frangigena” di Fabio Dipinto e “Energie invisibili” di Luca Contieri.

L’accordo con le due associazioni permetterà di diffondere la conoscenza del progetto e raccontare così tanti aspetti legati alle scelte del mettersi in cammino. Avremo la possibilità di coinvolgere persone provenienti da ogni parte del mondo. «Internet e le nuove tecnologie hanno rivoluzionato il viaggio lento, a piedi e in bicicletta. Mappe, racconti, informazioni un tempo difficili da reperire, oggi possono essere condivise in tempo reale, e il GPS aiuta l’orientamento dei meno esperti su percorsi privi di segnaletica» spiega Alberto Conte, PRESIDENTE DELL’ASSOCIAZIONE MOVIMENTO LENTO.

«Chi si mette in cammino – racconta Marco Giovannelli, PRESIDENTE DELLA VARESE WEB – sa bene come dietro allo sforzo di ogni passo si mette in movimento una grande energia. La Via Francigena è un patrimonio di assoluto valore per il nostro paese. Ascolto, accoglienza, incontro sono elementi centrali per l’esperienza del pellegrino e dei tanti che si impegnano affinché il cammino possa essere un’esperienza anche di serenità. È un grande onore per noi collaborare con l’Associazione e siamo certi che il film sarà un’ottima occasione per diffondere ancor di più questo cammino».

DALL’AVVIO DEL PROGETTO SONO GIÀ ARRIVATI I PRIMI CENTO VIDEO. Tante letture diverse circa il rapporto nella propria vita con il digitale e con Internet. «Il lavoro procede e costruiremo il film insieme a voi – spiega Francesco G. Raganato, GIÀ REGISTA DI DOCUMENTARI PER SKY E RAI – Sarà un lavoro collettivo nel vero senso della parola. La volontà è quella di creare una community che dia linfa vitale al film giorno per giorno. E’ una sfida in tutti i sensi, a partire dal fatto che daremo l’opportunità a chiunque di raccontare la sua storia e condividerla.”

Riconoscimenti
Tutti i video verranno pubblicati in diversi spazi e coloro che parteciperanno con l’invio di un proprio lavoro, riceveranno un riconoscimento da parte della produzione. Ogni DUE SETTIMANE poi sarà scelto un filmato particolarmente rappresentativo dello spirito del film e all’autore verrà offerto UN WEEKEND PER DUE PERSONE IN UNA LOCALITÀ ITALIANA. Tutti coloro che verranno scelti per far parte di DIGITALIFE saranno inseriti nei titoli di coda del film e nei credits ufficiali dell’opera.

Social
Per rimanere aggiornati, o per entrare a far parte della comunità che nei prossimi mesi “costruirà” il film, DigitaLife avrà una presenza attiva su Facebook, Instagram, Twitter e YouTube. Per qualsiasi altra richiesta è possibile scrivere a digitalife.film@gmail.com

Il regista Francesco G. Raganato
È stato scelto da Varese Web tramite un bando a cui hanno partecipato 230 registi e vedomaker.  Ha diretto diversi documentari per il programma “La storia siamo noi” di Giovanni Minoli su Rai2, realizzando poi prodotti anche per La7 e History Channel. Parallelamente alla TV lavora ad alcuni film-documentari, creati apposta per il cinema e l’on-demand. “L’Isola Analogica”, su alcune vicende legate al consumo accidentale di LSD nella piccola isola di Alicudi nelle Eolie, vince il Gran Premio del Mediterraneo/Prix Italia, festival a cui partecipano le maggiori emittenti televisive europee. Dopo qualche anno esce al cinema e poi in dvd per Feltrinelli Real, “Tsunami tour”, l’unico documentario che racconta la prima campagna elettorale di Grillo. Con “Looking For Kadija”, mette in scena un picaresco viaggio in una sconosciuta Eritrea, riuscendo a raccogliere numerose testimonianze sulle condizioni di vita nella ex-colonia italiana. Questo documentario, prodotto da RAI Cinema, vince il primo premio al Festival del Cinema di Roma nel 2013. Tra i suoi ultimi lavori c’è la serie “Islam Italia”, ideata e condotta da Gad Lerner per Rai3, attualmente candidata al Prix Italia.

La Via Francigena
La Via Francigena promuove un patrimonio legato alle identità culturali europee partendo da un itinerario storico che si esprime attraverso un fascio di strade, sulle quali si è formata la storia dell’Europa nei secoli scorsi. Per scoprire questo percorso di 1800 km attraverso l’Inghilterra, la Francia, la Svizzera e l’Italia sugli antichi passi dei pellegrini medievali che camminavano verso le grandi mete come Roma, Santiago di Compostela o Gerusalemme, il 22 aprile 2001 è stata creata l’Associazione Europea delle Vie Francigene (AEVF). In qualità di soggetto abilitato ufficialmente dal Consiglio d’Europa, l’AEVF dialoga con istituzioni europee, regioni, collettività locali, associazioni e operatori del settore per promuovere i valori dei cammini e dei pellegrinaggi, partendo dallo sviluppo sostenibile dei territori attraverso un approccio culturale, identitario, turistico.

Per maggiori info: www.viefrancigene.org

Movimento Lento
Il Movimento Lento si occupa della divulgazione della cultura dello “slow travel”, e utilizza le tecnologie più avanzate per riscoprire antiche vie e tracciare nuovi itinerari, e per organizzare viaggi a piedi e in bicicletta alla portata di tutti.

Per maggiori info: www.movimentolento.it

La produzione Varese Web
Varese Web è l’editore di Varesenews, il quotidiano online della provincia di Varese che nasce nel 1997. Allora la connessione era ancora una condizione di pochi. Il giornale negli anni è cresciuto grazie alla capacità di esser parte delle proprie comunità. È stato un elemento di spinta per diversi territori per far crescere la cultura digitale e oggi ha raggiunto 4 milioni di lettori al mese, 188mila fan sulla pagina Facebook, 20mila follower su Instagram e 15mila su Twitter. La produzione del docufilm DigitaLife è solo una delle iniziative che sono in programma per festeggiare i 20 anni della testata giornalistica.

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Walking with…Ivo Gabrielli, the pilgrim host in love with the Via Francigena

Being a host is pure volunteering and when I do it, in that moment, it is the walk that comes to me”. Today’s interview takes us “Walking with…” Ivo Gabrielli, a hosting pilgrim in love with the Via Francigena.  

For five years, Ivo has dedicated himself to welcoming pilgrims in Italy for the Society of Friends of Santiago de Compostela.  Alongside 14 other trainers, he guides courses for pilgrims who would like to become volunteers.  His ‘mission’, began at 52 years old after his first walk and arrival at Santiago de Compostela.

“I started with the Route of Santiago six years ago – says the host – from then on I began walking and after having journeyed along the Assisi route I fell in love with Italian walking itineraries.  From landscapes to culture, food and people with large hearts, Italy is unbeatable.  I became interested in the Via Francigena, I did the course to become a host at Altopascio, I then met Giovanni Corrieri (the ambassador of the Via Francigena) who with me found a fertile terrain.”

What pushes a pilgrim to become a host? “You decide to give some of your lifetime to others for free.  It’s something that you have to feel, it’s not a trend – Ivo explains – In my case I said to myself “Why not give back that which I have been given?”  I think hostels and parishes that work via donation offer a unique form of hospitality, and it is this which I have always looked for as a pilgrim”.  

To become a host you must have done at least one walking route.  It is a fundamental requisite.  But what does volunteering involve? “Every day new pilgrims arrive with different stories.  It’s for this reason I say that walking comes to me.  In the morning they leave with a smile and this brings me a lot of satisfaction.  However being a host also requires sacrifices.  Every day you start again.  You clean, reorganise and welcome new pilgrims.  For two weeks you live a determined routine and you could disagree with a co-worker.  We say that even if the first experience doesn’t go well, to never give up and to try again.  In any case, it is a free choice, not an obligation.” 

The Society of Friends of Santiago de Compostela has 6 thousand volunteers around the world.  There are around 400 Italians who have done the course and at least one turn.  At what point is the Italian hospitality? 

We only manage donation hostels. For 4 years we have been responsible for Valpromaro (half way between Pietrasanta and Lucca in Tuscany) that has by now become our mother town, we also manage a hotel at Vercelli and this July and August we will give the Casa di Lazzaro at Acquapendente a hand too. The first year at Valpromaro 250 pilgrims passed between Easter to November, last year we reached over a thousand.  Many believe that there isn’t hospitality for pilgrims but now their ideas are changing. – comments Ivo – From this point of view, I’d like the Via Francigena to become like the Camino de Santiago.  This type of structure for pilgrims should be increased.  It will take time but I have faith”.

A last question: Ivo Gabrielli, do you feel more like a pilgrim or a host? “Let’s say that I enjoy being a pilgrim and at certain points during the year I enjoy welcoming people – he concludes – but when they ask me how many walks I’ve done, I reply that I cannot count them.  For me, being a host is like walking”.

For information on courses to become a host contact: accoglienzapellegrina.corsi@gmail.com

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En chemin avec..Ivo Gabrielli, le pelerin hospitalier amoureux de la Via Francigena

« Faire l’hospitalier est du pur volontariat et quand je le fais, à ce moment-là, c’est le chemin qui vient à moi ». L’interview d’aujourd’hui nous amène « En chemin avec… » Ivo Gabrielli, un pèlerin hospitalier amoureux de la Via Francigena.

Depuis 5 ans, Ivo se consacre à l’accueil des pèlerins en Italie pour le compte de l’Association des Amis du Chemin de Saint Jacques. Avec 14 autres formateurs, il donne des cours aux pèlerins qui veulent devenir des volontaires. Une véritable « mission » commencée à 52 ans, après sa première marche à l’arrivée de Saint Jacques de Compostelle.

« J’ai commencé avec le Chemin de Saint Jacques il y a six ans – raconte l’hospitalier – de là, j’ai commencé à marcher et après avoir parcouru aussi le Chemin d’Assise, je suis tombé amoureux des chemins italiens. Entre les paysages, la culture, la nourriture et les personnes au grand cœur, l’Italie est imbattable. Je me suis intéressé à la Via Francigena, j’ai fait le cours d’Hospitalier à Altopascio, puis j’ai connu Giovanni Corrieri (l’ambassadeur de la Via Francigena ndlr) qui a trouvé chez moi un terrain fertile ».

Qu’est-ce qui pousse un pèlerin à devenir hospitalier ? « On décide de donner un peu de temps de sa propre vie aux autres, gratuitement. C’est quelque chose que l’on doit sentir, ce n’est pas une mode – explique Ivo – Dans mon cas, je me suis dit : pourquoi ne pas rendre ce que j’ai reçu ? Je pense que les auberges à dons et les paroisses offrent un accueil unique, et c’est cela que j’ai toujours recherché en tant que pèlerin ».

Pour devenir hospitalier, il faut avoir fait au moins un chemin. Il s’agit d’une condition obligatoire. Mais que signifie faire le volontaire ? « Chaque jour, de nouveaux pèlerins arrivent et racontent des histoires différentes. Pour cela, je dis que le chemin vient à moi. Eux, au matin, ils reprennent la marche avec le sourire et cela me donne beaucoup de satisfaction. Mais faire l’hospitalier demande aussi des sacrifices. Chaque jour, on recommence à zéro. Nettoyer, mettre en ordre et accueillir d’autres pèlerins. Je vis durant deux semaines avec des temps scandés et ça peut aussi arriver de ne pas apprécier le collègue de service. Mais même si la première expérience ne se passe pas très bien, nous conseillons de ne pas s’arrêter, de réessayer. C’est bien sûr un choix libre, et pas une obligation ».

L’association des Amis du Chemin de Saint Jacques compte environ 6.000 volontaires dans le monde. Les italiens qui ont fait le cours et au moins un service sont environ 400. Où en est l’accueil au niveau italien ?

« Nous gérons seulement des auberges à dons. Depuis 4 ans, nous nous occupons de Valpromaro (à la moitié du parcours entre Pietrasanta et Lucques en Toscane ndlr) qui est devenu notre maison mère, nous gérons aussi une auberge à Vercelli et cet été, en juillet et en août à l’essai, nous donnerons aussi un coup de main à la Casa di Lazzaro à Acquapendente. La première année à Valpromaro, de Pâques à novembre, seulement 250 pèlerins sont passés ; l’année dernière, nous avons dépassé les 1.000 pèlerins. Beaucoup sont convaincus qu’il n’y a pas d’accueil pour les pèlerins mais qu’ils se détrompent. – commente Ivo – Je voudrais que la Via Francigena soit sur ce point de vue comme le Chemin de Saint Jacques. Nous devons augmenter ce type de structures pour pèlerins. Il faudra encore un peu de temps mais je suis confiant ».

Une dernière question : Ivo Gabrielli se sent plus pèlerin ou hospitalier ? « Disons que j’aime faire le pèlerin, et dans certaines périodes de l’année j’aime aussi accueillir les personnes, mais quand ils me demandent combien de chemins j’ai fait, je réponds que je ne peux pas les quantifier. Pour moi, faire l’hospitalier, c’est comme marcher ».

Pour les informations sur les cours pour hospitalier, contacter : accoglienzapellegrina.corsi@gmail.com

Silvia Iuliano

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In cammino con..Ivo Gabrielli, il pellegrino hospitalero innamorato della Francigena

Fare l’hospitalero è volontariato puro e quando lo faccio, in quel momento, è il cammino che viene da me”. L’intervista di oggi ci porta “In Cammino con..” Ivo Gabrielli, un pellegrino hospitalero innamorato della Via Francigena.

Da cinque anni, Ivo, si dedica all’accoglienza pellegrina in Italia per conto dell’Associazione degli Amici del Cammino di Santiago. Insieme ad altri 14 formatori, svolge i corsi per i pellegrini che vogliono diventare volontari. Una ‘missione’ la sua, iniziata all’età di 52 anni dopo il primo cammino e l’arrivo a Santiago de Compostela.

“Ho cominciato con il Cammino di Santiago sei anni fa – racconta l’hospitalero – da lì ho iniziato a camminare e dopo aver percorso anche il Cammino di Assisi mi sono innamorato degli itinerari italiani. Tra i paesaggi, la cultura, il cibo e le persone dal cuore grande, l’Italia è imbattibile. Mi sono interessato alla Francigena, ho fatto il corso da Hospitalero ad Altopascio, poi ho conosciuto Giovanni Corrieri (l’ambasciatore della Via Francigena ndr.) che con me ha trovato terreno fertile.”.

Cosa spinge un pellegrino a diventare hospitalero? “Si decide di dare un po’ di tempo della propria vita agli altri e gratuitamente. E’ qualcosa che devi sentire, non è una moda – spiega Ivo – Nel mio caso mi sono detto: “Perché non restituire quello che ho ricevuto?”. Penso che gli ostelli a donativo e i parrocchiali offrano un’accoglienza unica, ed è quella che ho sempre cercato da pellegrino”.

Per diventare hospitalero bisogna aver fatto almeno un cammino. Si tratta di un requisito fondamentale. Ma che cosa significa fare il volontario? “Ogni giorno arrivano nuovi pellegrini e incontri storie diverse. Per questo io dico che è il cammino che viene da me. Loro al mattino riprendono il passo col sorriso e questo dà tanta soddisfazione. Ma fare l’hospitalero richiede anche sacrifici. Ogni giorno si ricomincia da capo. Pulisci, metti in ordine e accogli altri pellegrini. Vivi per due settimane con tempi scanditi e può capitare anche di non andare d’accordo con il collega di turno. Ma se anche la prima esperienza non va bene, noi diciamo di non mollare di riprovarci. E’ comunque una libera scelta, non un obbligo”.

L’associazione Amici del Cammino di Santiago conta 6 mila volontari nel mondo. Gli italiani che hanno fatto il corso e almeno un turno sono circa 400. A che punto è l’accoglienza a livello italiano?

Noi gestiamo solo ostelli a donativo. Da 4 anni ci occupiamo di Valpromaro (a metà tappa tra Pietrasanta e Lucca in Toscana ndr) che è diventata ormai la nostra casa madre, gestiamo anche un ostello a Vercelli e quest’estate a luglio e agosto in prova, daremo una mano anche alla Casa di Lazzaro ad Acquapendente. Il primo anno a Valpromaro da Pasqua a Novembre sono passati solo 250 pellegrini, l’anno scorso abbiamo superato i mille. Ecco, molti sono convinti che non ci siano accoglienze per pellegrini ma si stanno ricredendo. – commenta IvoVorrei che la Via Francigena diventasse da questo punto di vista come il Cammino di Santiago. Devono aumentare questo tipo di strutture per pellegrini. Ci vorrà un po’ di tempo ma sono fiducioso”.

Un’ultima domanda: Ivo Gabrielli si sente più pellegrino o hospitalero? “Diciamo che mi piace fare il pellegrino e in certi periodi dell’anno mi piace anche accogliere le persone – conclude – ma quando mi chiedono quanti cammini ho fatto, rispondo che non li posso quantificare. Per me fare l’hospitalero è come camminare”.

Per informazioni sui corsi per hospitalero contattare: accoglienzapellegrina.corsi@gmail.com

Silvia Iuliano

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Le sac à dos, quelques conseils. Le chemin nous attend.

Le sac à dos, notre « maison » durant le chemin. Quelques conseils sur cet instrument indispensable qui nous accompagne dans le voyage. Ce qui ne doit pas manquer et ce qui doit manquer.

Comment préparer et vivre l’expérience d’un long chemin sur la Via Francigena ? Au printemps, les demandes, faites à l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena, de conseils pratiques par des marcheurs ou des passionnés qui veulent découvrir à pied la Via Francigena ont augmenté. Un approfondissement par Luca Bruschi de l’AEVF.

« J’ai sur les épaules et sur les jambes déjà plusieurs kilomètres de Chemins. Je ne me considère pas comme un expert du secteur, mais je pense avoir acquis une discrète expérience dans ces douze dernières années. Voici certaines informations pour ceux qui doivent préparer leur sac à dos et se lancent pour la première fois à parcourir les Chemins comme celui de la Via Francigena. En tout premier, sur le sac à dos (et les chaussures) il vaut mieux ne pas se tromper ! Pour tout le reste, on peut trouver des compromis.

Au préalable : il vaut mieux mettre en évidence sur le calendrier la date de départ et éviter de préparer le sac à dos à la dernière minute. Il y a des choses qui ne doivent pas manquer. Beaucoup d’autres au contraire peuvent tranquillement manquer !

Deux semaines avant de partir, je vous conseille d’avoir à portée de main un carnet et le livre du parcours que vous allez découvrir. Moi, j’aime prendre des notes avant le Chemin, auxquelles j’ajoute une liste personnelle de courses. ʺ Je l’ai, je l’ai, ça manque. ʺ En général, le jour du départ, j’ai réussi à mettre dans le sac tout ce que j’avais prévu, à part une chose. Oui, toutes les années je me rends compte que j’ai oublié un objet : de la serviette aux savates. Ce sont des oublis remédiables sur le chemin.

Des conseils sur les choses qui ne doivent pas manquer :

  • Des vêtements de matière spécialisée et légère. En général, je prends toujours trois changes. Un sweat (léger), un k-way, une chemise à manches longues.
  • Les chaussures méritent au moins un chapitre. L’important est qu’elles ne soient pas neuves, jamais portées. Je préfère les utiliser jusqu’à la fin : de bonnes « vieilles » chaussures sont le meilleur allié pour affronter de longs chemins. Avant de partir, je mets du talc sur les pieds et à la fin de l’étape, j’utilise une crème hydratante et rafraichissante à la menthe.
  • Un kit de premiers secours : indispensable pour les pieds, les piqûres d’insectes et les brûlures, mais aussi pour pallier au manque de forme durant le parcours.
  • Un couteau multifonction
  • Récupérer des informations pratiques sur le chemin, surtout en ce qui concerne l’accueil, les points d’eau et de restauration. Généralement, il vaut mieux effectuer les réservations pour les deux premières étapes. Puis, de jour en jour, j’appelle au moins deux heures avant la structure établie dans le lieu où je décide de conclure l’étape.
  • Une tente, pour ceux qui décident de l’amener, elle représente sûrement la plus importante façon d’être en contact avec la nature durant la nuit. Elle est très liée à la philosophie du Chemin. On trouve souvent des campings organisés ou bien, en alternative, on peut trouver des zones privées où la monter. Si vous êtes un marcheur (disons très fatigué !) il y aura sûrement quelqu’un pour vous accueillir dans son jardin ou bien pour vous indiquer un lieu ombragé proche du parcours.
  • Un bâton (ou des raquettes de trekking). Utile pour donner le rythme quand on marche, utile dans les montées et les descentes, utile contre d’éventuels chiens errants.

Dans la préparation du sac à dos, je conseille de faire attention à mettre les objets les plus lourds proches des zones d’appui ou bien au milieu ; en plus, il vaut mieux équilibrer les poids (par ex. la gourde dans une poche latérale avec 1l d’eau) et avoir à portée de main les choses essentielles.

Sur les choses qui doivent manquer, je ne m’arrêterais pas trop : quand le sac atteint 7-8kg, tout le poids que l’on ajoute en général, c’est quelque chose dont on pourrait se passer. Le superflu, justement. Chacun est donc capable de l’évaluer.

Doivent manquer, à mon avis, l’excitation et la hâte d’arriver au but, quel qu’il soit. Marcher sur ces parcours veut dire récupérer la lenteur, faire attention aux paysages et aux personnes que nous rencontrerons, récupérer un contact physique avec la nature. Le chemin aide à remettre les choses en ordre, c’est une thérapie naturelle qui a des effets positifs sur notre corps et sur notre esprit.

Il vaut mieux marcher lentement, même très lentement, avec l’esprit du voyageur. Cette prédisposition au chemin lent est presque une forme de rébellion, une manière de se réapproprier du temps qui trop souvent au quotidien nous manque. C’est aussi une façon pour redevenir des êtres humains, en apprenant aussi à écouter le silence.

Il ne nous reste plus qu’à faire le premier pas et partir. »

Luca Bruschi

luca.bruschi@viefrancigene.org

   

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Lo zaino, qualche consiglio. Il cammino ci aspetta.

Lo zaino, la nostra “casa” durante il cammino. Alcuni consigli su questo indispensabile strumento che ci accompagna nel viaggio. Cosa non deve mancare, e cosa deve mancare.

Come preparare e vivere l’esperienza di un lungo cammino sulla Via Francigena? Nel periodo primaverile sono aumentate all’Associazione Europea delle Vie Francigene le richieste di consigli pratici da parte di camminatori o appassionati che vogliono scoprire a piedi la Via Francigena, partendo magari per la prima volta alla scoperta di questo percorso. Un approfondimento con Luca Bruschi, dell’AEVF.

Ho sulle spalle e sulle gambe ormai diversi cammini. Non mi considero un esperto del settore, ma penso di aver acquisito una discreta esperienza negli ultimi dodici anni maturata “sul campo”.
Alcune informazioni per chi deve preparare lo zaino e si accinge per la prima volta a percorrere cammini come quello della Via Francigena: innanzitutto sullo zaino (e scarpe) meglio non sbagliare! Per tutto il resto, invece, si possono trovare compromessi.

Un consiglio preliminare: meglio mettere in evidenza sul calendario la data della partenza ed evitare di arrivare all’ultimo secondo alla preparazione dello zaino. Ci sono cose che non devono mancare.  Molte altre, invece, possono tranquillamente mancare.

Un paio di settimane prima di partire consiglio di tenere a portata di mano un taccuino ed il libro del percorso che andrete a scoprire. A me piace iniziare a prendere appunti sparsi prima del cammino, alla quale affianco una personale lista della spesa. Celo, celo, manca. Di solito arrivo al giorno della partenza riuscendo ad infilare nello zaino tutto quello che avevo previsto, tranne una cosa. Sì, ogni anno mi accorgo che riesco a dimenticare un oggetto: dall’asciugamano alle ciabatte. Il tutto è comunque facilmente rimediabili sul cammino.

Consigli sulle cose che non possono mancare:
– Indumenti in materiale tecnico e leggero. Di solito metto sempre tre ricambi. Inoltre un pile (leggero), un kway, una camicia outdoor a maniche lunghe
– Le scarpe meritano un capitolo a sé. L’importante è che abbiano già macinato km e siano in confidenza con il piede. Preferisco utilizzarle fino a quando sono al limite delle loro forze: un “buon usato” ai piedi è il miglior alleato per affrontare lunghi cammini. Prima di partire metto del borotalco sui piedi, a fine tappa utilizzo una crema defaticante e rinfrescante, alla menta.
Kit medico e di prima emergenza: indispensabile per i piedi, punture di insetti e scottature, ma anche per combattere eventuali debilitazioni fisiche lungo il percorso.
– coltellino multiuso
– Recuperare delle informazioni pratiche sul cammino che si andrà a fare, soprattutto per quanto riguarda l’accoglienza, i punti d’acqua ed i ristori. Generalmente meglio riservare il pernottamento nelle prime due tappe. Poi, di giorno in giorno, chiamo almeno un paio d’ore prima la struttura ubicata nel luogo dove decido di concludere la tappa.
– la tenda, per chi decide di portarla con sé, rappresenta sicuramente un modo per rimanere maggiormente a contatto con la natura durante la notte. È fortemente legata alla filosofia del cammino. Si trovano spesso camping organizzati oppure, in alternativa, si possono trovare aree private dove poterla montare agilmente. Se sei un camminatore (magari parecchio stanco!), sicuramente ci sarà qualcuno che potrà ospitarti nel giardino oppure ti indicherà un luogo alberato vicino al percorso..
Bastone (o racchette da trekking): utile per dare ritmo quando si cammina, utile nelle salite e nelle discese, utile contro eventuali cani randagi.

Nella preparazione dello zaino consiglio di far attenzione a mettere gli oggetti più pesanti vicino alle zone d’appoggio oppure nel mezzo; inoltre, meglio bilanciare sempre i pesi (es. borraccia in un taschino laterale con 1 litro d’acqua) e tenere a portata di mano le cose essenziali.

Sulle cose che devono invece mancare, non mi soffermerei troppo: quando lo zaino ha raggiunto 7-8 kg, tutto il peso che si aggiunge di solito è qualche cosa di cui potremmo fare a meno. Il superfluo, appunto. Ognuno è quindi in grado di valutare.
Devono mancare, a mio avviso, la frenesia e la fretta di arrivare alla meta, qualsiasi essa sia. Camminare su questi percorsi vuol dire recuperare la lentezza, fare attenzione al paesaggio ed alle persone che si incontrano, recuperare un contatto fisico con la natura. Il cammino aiuta a rimettere le cose in ordine, è una terapia naturale che ha effetti positivi sul nostro corpo e sulla nostra mente.

Meglio camminare lentamente, anzi molto lentamente, con lo spirito del viandante (consiglio la lettura del buon libro dello scrittore-camminatore Luigi NacciViandanza. Il cammino come educazione sentimentale“, ediciclo). Questa predisposizione al cammino lento è quasi una forma di ribellione, un modo per riappropriarsi del tempo che troppo spesso nel quotidiano sfugge al nostro controllo. È anche un modo per tornare ad essere degli esseri umani, imparando anche ad ascoltare il silenzio.

Non ci resta che fare il primo passo e partire.

Luca Bruschi
Luca.bruschi@viefrancigene.org

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Tappa 16 – Da Orio Litta a Piacenza – Chiusura ponte sul Trebbia

Il ponte stradale tra l’approdo del Po e Piacenza è momentaneamente interrotto, ma è stato attrezzato un guado segnalato in loco.
In caso di forti piogge può essere conveniente evitare di prendere il traghetto a Corte Sant’Andrea, percorrendo la variante sulla sponda lombarda.