Via Francigena

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En chemin avec… Annalisa La Fiura, de Fidenza à Rome pour se retrouver

« On m’avait dit que le chemin changeait en mieux une personne, mais je ne m’attendais pas à cela. Ça a été une expérience indescriptible. Maintenant, je dis à tout le monde ‘allez-y, même seuls et n’ayez pas peur de vos limites’ ». Annalisa La Fiura a 36 ans, elle vit à Fidenza et elle sera la protagoniste de cette interview pour la rubrique « En chemin avec… ». Son histoire est un exemple de force et de détermination à raconter.

Le 11 septembre dernier, la marcheuse originaire de Palerme, a parcouru son premier chemin à pied jusqu’à Rome. Un voyage physique mais surtout mental, commencé par le courage de fermer la porte de la maison et, sac sur le dos, de faire les premiers pas sur la Francigena, malgré un handicap de 75%.

Annalisa est affectée de fibromyalgie et arthrose dans tout le corps. Elle vit avec les douleurs et 12 hernies dans la colonne vertébrale depuis maintenant 8 ans. La maladie n’a pas éteint la curiosité et l’âme de cette femme qui, contre tous les avis, a décidé de se mettre en chemin. « Ce voyage était en chantier depuis environ 2 ans – raconte Annalisa – mais je voulais évaluer les résultats des examens, des visites. L’année dernière a été très difficile, une très chère amie est décédée, c’est elle justement qui d’une certaine façon m’a donné le courage. Ainsi, à un moment donné, j’ai dit ‘ça suffit, maintenant j’y vais’ ».

Annalisa était habituée à voir les pèlerins passer devant la maison, elle les regardait avec une certaine curiosité. Fidenza est en effet une des étapes de l’antique itinéraire de Sigéric en Emilie-Romagne. Mais jusqu’à présent, elle ne s’était jamais intéressée explicitement à la Francigena. Puis quelque chose s’est déclenché.

« J’ai décidé de parcourir la Francigena parce que j’avais besoin d’un moment pour moi, même spirituellement – explique l’interviewée – en plus, j’aime tout ce qui est lié à la nature, à l’art mais surtout parce que marcher me fait du bien. C’est plus douloureux pour moi de rester assise plusieurs heures. Ainsi, j’ai recueilli toutes les informations sur le site de l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena et je suis partie ».

Entre des hauts et des bas, Annalisa a passé ses plus belles journées sur la Via Francigena. Souvent seule, d’autres fois en compagnie de pèlerins rencontrés sur le chemin, en dormant dans les auberges à offre libre ou dans les paroisses. « J’ai eu des moments de découragement, les montées étaient difficiles mais ce qui me donnait de la force c’était d’arriver au sommet et de voir un panorama immense. Il y a eu des journées où le soir, j’allais dormir pleine de douleurs mais ensuite le repos nocturne m’aidait et au matin, j’étais prête à repartir ».

Le corps et l’esprit d’Annalisa étaient devenus ses alliés en chemin et, pas après pas, le 9 octobre, le pèlerin de Fidenza est arrivé à Rome. « Quand je racontais à mes amis pèlerins ma condition physique, ils restaient la bouche bée – commente-t-elle – je ne sais pas comment ça a été possible. Peut-être parce qu’en marchant, la musculature s’est renforcée et relaxée. Peut-être parce que je me suis mise à l’épreuve toute seule. De fait, depuis que je suis revenue, je vais mieux ».

Depuis, Annalisa a continué à marcher, mais surtout, elle a commencé à s’occuper de la Francigena. Ces derniers jours, elle a aidé à l’organisation de l’hospitalité de Christine Timmermans, la marcheuse belge en chemin vers la Grèce, accueillie par le peuple des pèlerins du web.

« Le dimanche, quand je peux, je vais marcher et je parcours d’autres petits tronçons de la Francigena – ajoute-t-elle – J’ai décidé d’être bénévole pour faire connaitre ce chemin. Mais dans le cœur, j’ai déjà deux autres voyages à faire dans les 2 prochaines années : de la maison jusqu’à La Verna pour faire le Chemin de Francesco et puis évidement, aller à Saint Jacques ».

Bonne Route Annalisa !

Silvia Iuliano

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In cammino con..Annalisa La Fiura, da Fidenza a Roma per ritrovare se stessa

Mi avevano detto che il cammino cambiava in meglio una persona ma non me l’aspettavo così. E’ stata un’esperienza indescrivibile. Adesso dico a tutti “andate, anche da soli e non abbiate paura dei vostri limiti”. Annalisa La Fiura ha 36 anni, vive a Fidenza ed è la protagonista di questa intervista per la rubrica “In cammino con..”.  La sua storia è infatti un esempio di forza e determinazione da raccontare. 

Lo scorso 11 settembre, la pellegrina di origine palermitana, ha percorso il suo primo cammino a piedi fino a Roma. Un viaggio fisico ma soprattutto mentale iniziato con il coraggio di chiudere la porta di casa e, zaino in spalla, fare il primo passo sulla Francigena, nonostante una disabilità del 75%.

Annalisa è affetta da fibromialgia e artrosi in tutte le parti del corpo. Convive con i dolori e 12 ernie nella colonna vertebrale ormai da otto anni. La malattia non ha spento la curiosità e l’anima di questa ragazza che, contro ogni parere, ha deciso di mettersi in cammino. “Questo viaggio era in cantiere da circa due anni – racconta Annalisa – ma volevo valutare i risultati degli esami, delle visite. L’ultimo anno è stato molto difficile, è mancata anche una mia cara amica, proprio lei in qualche modo mi ha dato una spinta. Così, ad un certo punto, ho detto “basta, adesso vado”.

Annalisa era abituata a vedere passare i pellegrini sotto casa, li guardava con una certa curiosità. Fidenza è infatti una delle tappe dell’antico itinerario di Sigerico in Emilia Romagna. Ma fino ad allora non si era mai interessata esplicitamente della Francigena. Poi è scattato qualcosa.

Ho deciso di percorrere la Francigena perché avevo bisogno di un momento per me stessa, anche a livello spirituale – spiega l’intervistata – inoltre amo tutto quello che è natura, legato all’arte ma soprattutto perché camminare mi fa stare bene. E’ più doloroso per me stare tante ore seduta. Così ho raccolto tutte le informazioni sul sito dell’Associazione Europea delle Vie Francigene e sono partita”.

Tra alti e bassi, Annalisa ha trascorso i suoi giorni più belli sulla Francigena. Spesso in solitudine, altre volte in compagnia di pellegrini conosciuti in cammino, dormendo negli ostelli a donativo o nei parrocchiali.  “Ho avuto i momenti in cui ero scoraggiata, le salite erano faticose ma quello che mi dava la forza era arrivare in cima e vedere un panorama immenso – confida – ci sono stati giorni in cui alla sera andavo a dormire piena di dolori ma poi il riposo notturno mi aiutava e al mattino ero pronta a ripartire”.

Il corpo e la mente di Annalisa erano diventati suoi alleati in cammino e, passo dopo passo, il 9 ottobre, la pellegrina di Fidenza è arrivata a Roma.Quando raccontavo ai miei amici pellegrini la mia condizione fisica, rimanevano a bocca aperta – commenta – io non so come sia stato possibile. Forse perché camminando la muscolatura si è rafforzata, rilassata. Forse perché mi sono messa alla prova da sola. Sta di fatto che, da quando sono tornata, sto meglio”.

Dalla allora Annalisa ha continuato a camminare ma soprattutto ha iniziato occuparsi della Francigena. Nei giorni scorsi ha aiutato nell’ospitalità anche Christine Timmermans la pellegrina belga in cammino verso la Grecia, accolta dal popolo dei camminatori del web.

“Alla domenica quando posso vado a camminare e percorro altri piccoli tratti della Francigena – aggiunge – ho deciso di offrire la mia disponibilità come volontaria per questo cammino. Ma nel cuore ho già altri due viaggi da fare nei prossimi due anni: partire da casa fino a La Verna per fare il Cammino di Francesco e poi, naturalmente, andare a Santiago”.

Buon cammino Annalisa!

Silvia Iuliano

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Henning Bechmann sur la Via Francigena : du Col du Grand Saint Bernard à Rome en 20 jours

Henning Bechmann, danois, sportif de haut niveau et marathonien, a entrepris, au mois de juin, sa dernière performance personnelle : arriver à Rome sur la Via Francigena en 20 jours, en courant et avec un bagage réduit au strict minimum.

Il explique dans l’article que vous trouverez en pièce jointe qu’il a rencontré beaucoup de difficultés, pas seulement physiques, mais surtout psychologiques. Une volonté de fer et quelques règles à suivre (peu mais rigides) pour pouvoir rejoindre sa destination sans se décourager : les bonnes doses entre la course et l’aventure, en laissant place à la liberté ; pas d’aide avec le bagage, qui ne doit pas dépasser 4kg et qui doit être porté sur le dos ; pas de réservations dans des endroits pour s’arrêter ; environ 60km par jour.

M Henning explique dans son article les détails de son voyage et, malgré quelques imprévus, comment il a réussi à rejoindre sa destination. A la fin de son aventure, il écrit : « Après un record de 1.123 kilomètres avec des hauts et des bas psychologiques, après un voyage de 20 jours, après avoir couru en montagne avec la neige et le froid et après des journées infinies en supportant 32 degrés, j’ai réussi à rejoindre Rome ».

Vous trouverez ci-joint l’article avec toutes les explications, les étapes et certaines anecdotes.

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Henning Bechmann on the Via Francigena: from the Great St Bernard Pass to Rome in 20 days

Henning Bechmann, Danish sports expert and marathon, started his last personal business in June: getting to Rome on the Italian Via Francigena in twenty days, running and with a reduced baggage.

Many difficulties encountered, not just physical, and above all psychological, as he explains in the article below. Strenuous force of will and few but rigid rules to follow, to reach the destination without being discouraged: mix between running and adventure with freedom as the keyword, you carry all your own package and no help from depots or a car following you, minimum of planning, including no prebooked accommodations, around 60 km per day, minimalistic packing, preferably within 4,0 kg.

Henning explains in his article all the details of his journey and, despite some unexpected events, how he managed to get to his destination. So writing, at the end of his adventure: “After unbeatable 1.123 kilometers with psychological ups and downs, after life on tour for 20 days, after running in mountains with snow and cold weather and after endless days of running in typically 32 degrees, I ended up in Rome anyway”.

Find the attached article with all the explanations, legs and some anecdotes.

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Henning Bechmann sulla Via Francigena: dal Passo del Gran San Bernardo a Roma in 20 giorni

Henning Bechmann, danese, esperto sportivo e maratoneta, ha intrapreso nel mese di giugno la sua ultima personale impresa: arrivare a Roma sulla Via Francigena italiana in venti giorni, di corsa e con un bagaglio ridotto al minimo essenziale.

Molte le difficoltà incontrate, non solo fisiche e soprattutto psicologiche, come egli stesso spiega nell’articolo che di seguito pubblichiamo. Una strenua forza di volontà e poche, ma rigide, regole da seguire, per poter giungere a destinazione senza farsi scoraggiare: le giuste dosi tra la corsa e l’avventura, lasciando spazio alla libertà; nessun aiuto con il bagaglio, che non deve eccedere i 4 kg, che deve essere tutto portato sulle proprie spalle; nessuna prenotazione nei luoghi di sosta; circa 60 km al giorno.

Henning spiega nel suo articolo tutti i dettagli del suo viaggio e, nonostante alcuni imprevisti, come sia riuscito a giungere a destinazione. Così scrivendo, alla fine della sua avventura: “Dopo un record di 1,123 chilometri con alti e bassi psicologici, dopo un viaggio di 20 giorni, dopo aver corso in montagna con neve e freddo e dopo giorni infiniti sopportando 32 gradi, sono riuscito ad arrivare a Roma“.

 

Trovate l’articolo in allegato, con tutte le spiegazioni, le tappe e alcuni aneddoti.

 

 

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Nouveau Infopoint et auberge : San Giovanni Rotondo, centre de la Via Francigena du Sud

San Giovanni Rotondo sera la référence pour l’Italie méridionale des chemins de la Via Francigena du Sud. Un financement régional de dix mille euro, attribué à l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena, a permis de récupérer un ancien site, remontant au XII-XIII siècle, dans le centre historique de San Giovanni Rotondo qui accueillera, non seulement le siège des Chemins de la Via Francigena du Sud Italie, mais aussi un infopoint et 6 lits à disposition des pèlerins.

« Les travaux de restauration de la tour au cours Matteotti sont finis et bientôt elle sera utilisable par les marcheurs qui, chaque année, parcourent les anciennes voies de pèlerinage. Il s’agit d’une dernière étape vers la réalisation d’un projet qui fera de San Giovanni Rotondo le centre d’un système de chemins ancestraux qui traversent la Capitanata et relient les Pouilles à d’autres territoires » soutient le maire de San Giovanni Rotondo, Costanzo Cascavilla.

L’ouverture d’un lieu d’accueil rentre dans une stratégie de promotion territoriale que l’administration communale de San Giovanni Rotondo a expliqué lors de la conférence en juillet dernier, quand la ville est devenue la capitale des chemins et des lieux de prières, en accueillant les délégations provenant de toute l’Europe et en lançant une discussion et une collaboration avec de nombreux centres de la religiosité internationale.

En 2018, le chemin qui du couvent de Stignano remonte vers la Grotte Sacrée de Monte Sant’Angelo deviendra utilisable en toute sécurité. Il s’agit d’une intervention avec des fonds régionaux qui permettra, après la restauration du tronçon Celle san Vito-Lucera, d’avoir en Capitanata le premier tronçon de chemin utilisable dans le midi de la Via Francigena.

« Un résultat important, obtenu grâce au soutien de l’administration communale et à la collaboration du conseiller Claudio Russo, qui permettra la diversification de l’offre touristique, en pariant sur la désaisonnalisation et sur la tutelle du paysage, et en récompensant la qualité de la vie et la mobilité lente. En juillet, nous avons discuté sur les thèmes qui ne concernent pas seulement l’aspect religieux, mais nous avons réfléchi sur les modèles de développement pour construire des réseaux territoriaux liés à des dénominateurs communs et qui favorisent un processus d’intégration et d’accueil. Au fond, dans une Europe qui chaque jour enregistre des tensions séparatistes, la Via Francigena peut représenter un formidable liant pour construire une Europe des Cultures à opposer à des concepts de désintégration et d’anéantissement de l’union entre les états et les peuples » insiste le maire M Cascavilla.

Source : il Resto del Gargano

 

 

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Nuovo infopoint e ostello: San Giovanni Rotondo fulcro della via Francigena nel Sud

San Giovanni Rotondo sarà il punto di riferimento per l’Italia meridionale delle Vie Francigene del Sud. Un finanziamento regionale di diecimila euro, attribuito all’Associazione Europea delle Vie Francigene, ha permesso di recuperare un antico sito, risalente al XII-XIII secolo, nel centro storico di San Giovanni Rotondo che ospiterà, oltre alla sede delle Vie Francigene per il Sud Italia, anche un infopoint e 6 posti letto a disposizione dei pellegrini.

«Sono terminati i lavori di recupero della torretta di corso Matteotti e presto sarà fruibile ai camminatori che ogni anno ripercorrono le antiche vie dei pellegrinaggi. Si tratta di un ulteriore passo verso la realizzazione di un progetto che farà di San Giovanni Rotondo il perno di un sistema di antichi cammini che attraversano la Capitanata e collegano la Puglia ad altre realtà territoriali», sostiene il sindaco di San Giovanni Rotondo, Costanzo Cascavilla.

L’apertura del punto di accoglienza rientra in una strategia di promozione territoriale che l’amministrazione comunale di San Giovanni Rotondo ha illustrato nel convegno di luglio scorso, quando la città garganica è diventata capitale dei cammini e dei luoghi di preghiera, ospitando delegazioni provenienti da ogni parte di Europa e avviando un confronto e collaborazione con numerosi centri della religiosità internazionale.

Tra l’altro, nel 2018 sarà reso totalmente fruibile e sicuro il cammino che dal convento di Stignano risale verso la Sacra Grotta di Monte sant’Angelo. Si tratta di un intervento con fondi regionali che permetterà, dopo il recupero del tratto Celle san Vito-Lucera, di avere in terra di Capitanata il primo tratto di cammino fruibile nel Mezzogiorno della Via Francigena.

«Un risultato importante, ottenuto grazie al sostegno dell’amministrazione comunale e alla collaborazione del consigliere, Claudio Russo, che permetterà la diversificazione dell’offerta turistica, puntando sulla destagionalizzazione e sulla tutela del paesaggio, premiando qualità della vita e mobilità lenta. A luglio ci siamo confrontati su temi che non riguardano solo l’aspetto religioso, ma abbiamo ragionato su modelli di sviluppo per costruire reti territoriali legate a comuni denominatori e che favoriscano processi d’integrazione e accoglienza. In fondo, in una Europa che ogni giorno registra attriti separatisti, la Via Francigena può rappresentare un collante formidabile per costruire una Europa delle Culture da contrapporre a concetti di disgregazione e annichilimento dell’unione fra stati e popoli», insiste il sindaco Cascavilla.

Fonte: il Resto del Gargano

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Grand succès du Francigena Ultramarathon

Samedi 21 et dimanche 22 octobre, plus de 700 trekker se sont mis en chemin sur les 4 parcours de la Via Francigena entre la Toscane et le Latium du Francigena Ultra Marathon.

Beaucoup d’administrateurs communaux étaient présents, ils ont voulu démontrer de manière concrète leur intérêt envers les pèlerins et les voyageurs de la Via Francigena. Le maire de Sienne, M Valentini et les assesseurs Mme Pallai, M Mazzini, M Maggi et M Tarquini ont participé au parcours entre Sienne et Buonconvento (32 km). Le maire de San Quirico, M Agnelli et l’assesseur M Crisanti ont choisi l’étape nocturne de San Quirico à Acquapendente. L’assesseur d’Acquapendente, M Meloni, a fait le dernier tronçon de 32 km qui partait de Radicofani.

Le Président de l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena, M Tedeschi, a salué les pèlerins au départ, alors que l’équipe d’AEVF (M Bruschi, M Tawfik, M Faravelli, Mme Concari) a affronté la première étape de 32km.

L’organisation du « World Francigena Ultramarathon » a été un vrai succès, le premier marathon avec 4 itinéraires lents Toscane-Latium. Beaucoup de passionnés se sont lancés dans les 120 km de Sienne à Acquapendente : une entreprise physique et sportive. Les yeux de beaucoup de marcheurs étaient brillants d’émotion à l’arrivée, pour avoir réalisé cette belle expérience, de fatigue, de cœur et de générosité.

Un évènement qui a su mettre en réseau les dix communes et associations guidées par les administrations d’Acquapendente et de Sienne, promotrices des deux journées. Le « Via Francigena Ultra Marathon » a démontré le potentiel de la Via Francigena comme un élément extraordinaire capable de réunir les territoires, en favorisant le développement à échelle locale, dans ce cas en partant d’un évènement sportif à caractère interrégional.

Le départ des 120km non-stop Sienne-Acquapendente a eu lieu Place du Dôme, durant une splendide journée d’automne ensoleillée : au départ, beaucoup de sourires, d’amitié, d’esprit de partage. Les pèlerins de l’étape de 32 km de Sienne à Buonconvento sont partis en même temps que le 1er groupe. Un autre groupe est parti samedi 21 octobre le soir de San Quirico d’Orcia, alors que le dernier groupe est parti dimanche 22 octobre de Radicofani avec l’arrivée à Acquapendente.

La Protection Civile, la Police Municipale, la Croix Rouge et les groupes Trekking ont effectué un très bon travail et soutien opérationnel.

Un évènement à refaire dans les prochaines années, avec l’espoir de faire découvrir la Via Francigena à toujours plus de personnes. Les meilleurs ambassadeurs pour la promotion seront les 701 pèlerins qui ont participé à l’évènement.

Pour sa complexité d’organisation, le Francigena Ultra Marathon a été défini comme une « folie visionnaire ». La proposition (ou le défi) a été lancée par l’infatigable Sergio Pieri d’Acquapendente, à la fin de l’année dernière. Grâce à l’engagement et à la persévérance de beaucoup de personnes, il est devenu une réalité et le défi a été gagné. En attente de l’édition de l’année prochaine.

Luca Bruschi

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Grande successo della Francigena Ultramarathon

Sabato 21 e domenica 22 ottobre oltre 700 trekker si sono messi in cammino nei 4 percorsi lungo la Via Francigena tra Toscana e Lazio della Francigena Ultramarathon.
Presenti numerosi amministratori comunali che hanno voluto dimostrare in modo tangibile l’interesse e l’attenzione verso i pellegrini e viandanti della Via Francigena. Nel percorso da Siena a Buonconvento (32km) hanno partecipato il sindaco Valentini di Siena e gli assessori Pallai, Mazzini, Maggi e Tarquini. Presente anche il Sindaco Campinoti di Gambassi. Nella tappa notturna da San Quirico a Acquapendente hanno camminato il sindaco Agnelli di San Quirico e l’assessore acquesano Crisanti. L’assessore Meloni di Acquapendente ha fatto l’ultima tratta di 32km con partenza da Radicofani.
Il Presidente Tedeschi dell’ Associazione Europea della Via Francigena ha salutati i pellegrini alla partenza mentre lo staff AEVF (Bruschi, Tawfik, Faravelli, Concari) ha affrontato a piedi la prima tappa di 32km.

E’ stato un vero successo l’organizzazione della “World Francigena Ultramarathon”, la prima maratona per camminatori alle prese con i 4 itinerari slow toscano-laziali. Tanti appassionati si sono cimentati nella 120km da Siena ad Acquapendente: una impresa fisica e sportiva. Gli occhi di tanti camminatori al traguardo (nei 4 traguardi previsti) erano lucidi di commozione per aver portato a termine questa bellissima esperienza, di fatica, cuore, generosità.

Un evento che ha saputo mettere in rete dieci comuni e associazioni guidati dalle amministrazioni di Acquapendente e Siena promotrici della due giorni. La “Via Francigena Ultra Marathon” ha dimostrato ancora una volta il potenziale della Via Francigena come elemento straordinario in grado di aggregare i territori favorendo lo sviluppo su scala locale, in questo caso partendo da una manifestazione sportiva di carattere interregionale.

La partenza della 120km non stop Siena-Acquapendente è  avvenuta in Piazza Duomo in una splendida giornata di sole autunnale: allo “start” tanti sorrisi, amicizia, spirito di condivisione. In contemporanea è stato dato il via anche ai pellegrini della tappa di 32 Km da Siena a Buonconvento. Alla sera di sabato 21 ottobre sono invece partiti da San Quirico d’Orcia, mentre l’ultimo gruppo di trekker si è messo in cammino domencia 22 ottobre da Radicofani con arrivo finale sempre ad Acquapendente.
Ottimo il lavoro e supporto operativo della Protezione Civile, Polizia Municipale, Croce Rossa, gruppi trekking.

Un evento da ripetere nei prossimi anni con l’auspicio di avvicinare tante persone alla Via Francigena. Sicuramente i migliori ambasciatori per la promozione saranno i 701 pellegrini che hanno partecipato alla manifestazione d’esordio.
Per la sua complessità organizzativa, la Francigena Ultra Marathon era stata definita come una “visionaria folle pazzia”. La proposta (o la sfida) era  stata lanciata dall’infaticabile Sergio Pieri di Acquapendente alla fine dello scorso anno. Grazie all’impegno e perseveranza di tante persone è diventata realtà e la sfida è stata vinta. In attesa dell’edizione del prossimo anno.

Luca Bruschi

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Great Success of the Francigena Ultramarathon

On Saturday 21st and Sunday 22nd October, 700 trekkers put their best foot forward to take part in the Francigena Ultramarathon, the 4 routes along the Via Francigena between Tuscany and Lazio. 

Many municipal administrators were present who wanted to display their interest and attention for the pilgrims and travellers of the Via Francigena.  The mayor of SienaValentini, took part in the Siena to Buonconvento (32km) route, as well as council members Pallai, Mazzini, Maggi and Tarquini. The mayor of GambassiCampinoti, was also present.  As for the night-time tract from San Quirico to Acquapendente, mayor Agnelli of San Quirico and council member of AcquesanoCrisanti took part.  Council member Meloni of Acquapendente completed the last tract of 32km departing from Radicofani.

 

The president of the European Association of the Vie FrancigeneMassimo Tedeschi, bid farewell to the departing pilgrims, while the EAVF staff (Bruschi, Tawfik, Faravelli and Concari) faced the first route of 32km.  

 

The organisation of the ‘World Francigena Ultramarathon’ was a real success, the first marathon for hikers with 4 slow routes through Tuscany and Lazio.  Many passionate people took it upon themselves to walk the 120km from Siena to Acquapendente: a physical and sporting feat.  The eyes of hikers fixed on the finish line of their destination were shining with emotion having completed this wonderful experience, of exertion, heart and generosity.  

 

An event that managed to bring together ten municipalities and associations guided by the administrations of Acquapendente and Siena, promoters of the two days.  The ‘Via Francigena Ultramarathon’ showed, once again, the potential of the Via Francigena as an extraordinary element, able to unite areas through favouring development on a local scale.  As in this case, starting from a sportive event of an interregional nature.   

The start of the 120km non-stop Siena to Acquapendente was in Piazza Duomo, on a lovely autumnal day: at the starting line were many smiles, friends, and a shared spirit.  The hike of 32km from Siena to Buonconvento started simultaneously.  Those starting from San Quirico however, departed on the evening of Saturday 21st October, while the last group of trekkers started their hike on Sunday 22nd October from Radicofani to Acquapendente, like the others.  

 

The work and operating support of Protezione Civile, Polizia Municipale, Croce Rossa and gruppi trekking was excellent.  

It is an event to be repeated for years to come, it will bring many people together and closer to the Via Francigena.  The best promotional ambassadors will certainly be the 701 pilgrims who participated in the debut event.

 

The Francigena Ultramarathon was deemed a “crazy foolish vision” due to the complexity of its organisation.  The proposal (or the challenge) was launched by the tireless Sergio Pieri of Acquapendente at the end of last year.  Thanks to the hard work and perseverance of many people, it became a reality and the battle was won.  We await next year’s edition.  

Luca Bruschi